Ca y est, c’est le grand jour …
Accus chargés, hélico réglé et direction le jardin pour le premier décollage.
J’ai du passer un accus entier pour les réglages fins de la bête.
J’ai pu faire quelques stationnaire de quelques secondes. Mais quel bonheur de n’avoir rien cassé.
J’ai juste un petit doute sur le réglage servo AC et gyroscope.
Bref je vous tiens au courant.
Bon après mes premiers battement de pâles, j’ai quelques petites réparations à effectuer :
– remplacement de la poutre de queue ;
– remplacement des pâles (achat de pâles carbone) ;
– remplacement de la barre stabilisatrice ;
– remplacement de l’axe rotor principal par un axe traité ;
– remplacement de l’axe de roulement de pâle par un axe traité ;
Puis j’ai investi dans un moteur brushless : un flyware heli 8 couplé à un variateur Hacker Master 40 B Heli.
Bref, le temps de tout remonter et c’est reparti…
Bon comme on l’a remarqué, les accus chauffent quand on les charge…
Alors, j’ai décidé de me bricoler un “refroidisseur d’accus”.
Un peu de bois, deux ventilateurs de PC et des vieilles aiguilles à tricoter.
Ca donne ça :
Vue du dessus avec couvercle
Comme vous le voyez, le couvercle est troué afin de laisser sortir l’air qui est insufflée dans la boite par les deux ventilateurs.
A terme, le tout sera peint et je vais remplacer les élastiques (oui, oui, je le reconnais ça fait un peu Mc Gyver) par des petites charnières.
Vue de quart
Ici on voit que l’ouverture permet l’aspiration de l’air. Il en est de même de l’autre coté.
Pour la prise, j’envisage de rajouter une connexion banane.
Vue dessus sans couvercle
Enfin, là, on voit le lit d’aiguille à tricoter qui permet une bonne circulation de l’air sous l’accus.
La largeur permet de mettre un accus 10 éléments.
Bien sûr, sur l’un des coté, j’ai fais un trou qui permet de passer les fils du chargeur.
Bref, le tout fonctionne super bien…
Ce matin, j’ai reçu un incidencemètre.
Je peux enfin règler le pas des pâles.
En tous cas, surprise, j’avais un pas max qui dépassait allègrement les 10° !!!
Donc, j’ai tout remis comme il fallait :
– + 9° au pas max ;
– + 6° au pas de stationnaire ;
– 0 ° au pas minimum ;
J’attends maintenant la livraison des pignons pour faire de nouveaux essais en vol…
Incidencemètre
Une fois la bête réglée, direction le jardin.
Vérification de la boulonnerie.
Branchement de l’accu de réception.
Branchement de la radio et manche des gaz en bas.
Branchement de l’accu de propulsion.
Vérification du débattement des servos.
Vérification de la led du Gyro.
Mise en route progressive du moteur.
Et là problème… Manche des gaz à fond, la bête ne décolle pas. En plus grosse surprise, je vois que le pignon de moteur m’a dévoré la roue d’entraînement principale…
Bref, essais annulés, et je commande d’autres pignons (celui que j’avais était de 11 dents), d’un incidencemètre…
Il ne me reste plus, en attendant, qu’à me consacrer à la peinture du cockpit…
Là ça devient un petit peu plus délicat.
En effet, je découvre le règlage de l’hélico lui même et en plus celui de la radio.
Je remercie d’abord la revue FLY pour son numéro hors série N°6 qui explique TOUT du montage d’un hélico.
Et je remercie le représentant France de Hitec, mrcmodélisme et la boutique Vartex pour la documentation en français de la radio.
Tout ceci m’a été très utile.
Et enfin, je me souviens avoir vu sur un forum comment règler l’hélico en utilisant une route de vélo…
Il ne faut pas oublier de mettre une cale de 17 mm en dessous du plateau cyclique afin de respecter son débattement.
Le coup de la roue de vélo
Après l’ouverture de la boîte, j’ai découvert toutes les pièces qui allaient composer la bête.
C’est bien fait, pour chaque page de la notice, on trouve le petit sachet qui va bien. Il serait donc difficile de se planter.
Après avoir écarté le gnome de 3 ans de mon plan de travail (la table de la salle à manger), je me lancer dans la construction de l’engin.
Le premier choix tactique est de privilégier le mixage électronique. Donc, utilisation de trois servos pour commander le rotor principal, et en 120° s’il vous plait puique la radio le permet.
Bref le montage se déroule très bien et reste facile avec l’outillage idoïne.
Ca y est, je l’ai mon hélico…
J’ai donc choisi un électrique de la classe 1 mètre.
Le matos :
– IKARUS ECO 8 ;
– moteur sport IKARUS ;
– variateur ;
– radiocommande HITEC OPTIC 6 ;
– le récepteur livré avec la radio ;
– gyro futaba GY 401 ;
– 4 servos HS 81 ;
– plateau cylcique alu 120° (oui je l’ai configuré en 120°) ;
– barre de renfort poutre anticouple ;
– support de servo ;
– roue libre pour le rotor principal
– 2 accus 8 éléments SANYO 2400 ;
– 1 accu NIMH Jamara 8 éléments 3300 ;
– 1 accus NIMH Conrad 8 éléments 3300.
Bon où en est mon hélico ?
Un petit peu abimé, mais avec du bricolage, ça passe.
Mais je le remercie, puisque que grâce à lui, j’ai pu bien apprhendé l’hélico.
J’ai même pu faire quelques bons vols.
Alors, son devenir ?
Ben je pense le vendre… pour pièce.
Il fera sûrement le bonheur d’un débutant en mal de pièces détachées…
Aller une photo de la bête aujourd’hui :
Vue 1
Les dégâts
Vue des dégâts
Bon ça va, y’a pas grand chose quand même, et il vole encore.
Mais vivement mon ECO 8…
Bon, à ce jour, le Dragonfly est au tas…
Surtout à cause de l’hélice du rotor de queue… qui est cassée.
Fort heureusement j’ai commandé un crash kit, mais il n’est pas encore arrivé…
Bref, j’ai la semaine pour attendre le colis et pour réparer l’oiseau…
D’abord une vue d’ensemble du cockpit :
Puis la partie cassée entre le corps principal de l’hélico et la barre de queue :
Et enfin la liaison avec le patin d’atterrissage…
Eh bien oui, il volait encore et bien…
J’ai juste constaté qu’il partait en oscillation de temps en temps.
J’ai apparemment résolu le problème en faisant bouger les servos juste avant le décollage. Cela a peut être une influence sur le Gyro…
Bon vivement le WE prochain pour de nouveaux vols…
En attendant je me fais une petite recherche sur le zoom 400 de Protech ou sur un hélico électrique de 1 mètre de Pale (diamètre) …
